Nous commençons ici et là à manquer cruellement de professionnels. Il est temps de considérer que la démographie française mérite une transfusion soutenue et contrôlée.
Ce n'est pas pour autant une raison pour considérer que des migrants irréguliers soient systématiquement légitimés du fait de leur médiatisation ou de leurs engagements (légalement illégitimes).
Ce n'est pas non plus oublier que les immigrations massives des années d'après guerre ont parfois fait pensé à des actions digne du STO et que le retour au pays était virtuellement inscrit dans les contrats.
à Jasseron le 10 mars 2007
Objet : • Traumatismes
• Saurons-nous un jour dépasser les traumatismes du 20e siècle?
Le débat concernant l'immigration en France en ferait douter.
Depuis la fin des 30 glorieuses, la France a fermé ses frontières et l'immigration n'y est plus majoritairement que clandestine, et donc incontrôlée. Il en résulte le cortège de précarité et d'exploitation que l'on ne peu que condamner.
Alors lorsqu'un candidat à la Présidence imagine un ministère de l'immigration, je ne comprends pas le tollé des biens pensants. Si l'immigration doit être une Affaire d'État, autant qu'il y ait un ministère. Organiser dans quelles conditions nous devrons demain accueillir encore plus de personnes de tous pays pour faire face à nos carences en professionnels de tous niveaux, du maçon au médecin, de l'aide à domicile à l'enseignant, mérite bien un ministère.
C'est le laisser faire durant plus de 30 ans qui est la cause de nombreux désordres. Comment y remédier sans y mettre les moyens ?
Et comment ne pas associer immigration et citoyenneté ?
Devons-nous toujours considérer l'immigré comme en situation provisoire et nécessairement destiné à rentrer chez lui?
Accepterons-nous qu'il envisage réellement de s'installer?
Ne nous glorifions-nous pas d'être terre d'accueil ?
Comment alors ne pas prendre en charge la nécessité d'organiser leur intégration dans la société, de leur apporter un minimum d'information sur nos règles de vies pour leur assurer le meilleur accueil et en faire de futurs citoyens ?
Nous sommes tous à considérer qu'il n'y a pas assez d'accompagnement. Comment critiquer lorsque qu'il y a la volonté d'en faire un peu plus ?
Ce n'est pas pour autant une raison pour considérer que des migrants irréguliers soient systématiquement légitimés du fait de leur médiatisation ou de leurs engagements (légalement illégitimes).
Ce n'est pas non plus oublier que les immigrations massives des années d'après guerre ont parfois fait pensé à des actions digne du STO et que le retour au pays était virtuellement inscrit dans les contrats.
à Jasseron le 10 mars 2007
Objet : • Traumatismes
• Saurons-nous un jour dépasser les traumatismes du 20e siècle?
Le débat concernant l'immigration en France en ferait douter.
Depuis la fin des 30 glorieuses, la France a fermé ses frontières et l'immigration n'y est plus majoritairement que clandestine, et donc incontrôlée. Il en résulte le cortège de précarité et d'exploitation que l'on ne peu que condamner.
Alors lorsqu'un candidat à la Présidence imagine un ministère de l'immigration, je ne comprends pas le tollé des biens pensants. Si l'immigration doit être une Affaire d'État, autant qu'il y ait un ministère. Organiser dans quelles conditions nous devrons demain accueillir encore plus de personnes de tous pays pour faire face à nos carences en professionnels de tous niveaux, du maçon au médecin, de l'aide à domicile à l'enseignant, mérite bien un ministère.
C'est le laisser faire durant plus de 30 ans qui est la cause de nombreux désordres. Comment y remédier sans y mettre les moyens ?
Et comment ne pas associer immigration et citoyenneté ?
Devons-nous toujours considérer l'immigré comme en situation provisoire et nécessairement destiné à rentrer chez lui?
Accepterons-nous qu'il envisage réellement de s'installer?
Ne nous glorifions-nous pas d'être terre d'accueil ?
Comment alors ne pas prendre en charge la nécessité d'organiser leur intégration dans la société, de leur apporter un minimum d'information sur nos règles de vies pour leur assurer le meilleur accueil et en faire de futurs citoyens ?
Nous sommes tous à considérer qu'il n'y a pas assez d'accompagnement. Comment critiquer lorsque qu'il y a la volonté d'en faire un peu plus ?
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