Le retour de notre Faucheur vedette sur la scène médiatique me donne envie de re-publier ce message.
La menace des OGM sur l'environnement me semble d'un second ordre face aux semences hybrides type F1 qui, stériles elles aussi, mettent depuis des décennies les agriculteurs sous la coupe des semenciers et réduisent à très peu la diversité des produits cultivés.
Comme en d'autres domaines, ne diabolisons pas ce que nous ne comprenons pas. Prenons le temps d'étudier pour savoir. Mais pour étudier, il faut nécessairement produire.
à Jasseron le 23 avril 2007
Objet : • OGM en plaine de l'Ain
• Le score ridicule de notre Faucheur vedette aux élections présidentielles ne semble pas faire changer d'avis les anti-OGM, pas plus que l'indifférence des habitants des zones de cultures.
Contre quoi se battent-ils? Le maïs n'a aucun équivalent sauvage en europe, donc les essais en pleine air n'ont aucun impacte possible sur la nature.
Il serait, à mon sens, préférable de porter le combat contre les cultures qui gaspillent nos ressources car hors de leur milieu naturel. Que fait le maïs sans les pairies sèches de la plaine de l'Ain, ou le coton autour de la mer d'Aral, ou les tomates dans les serres hollandaises?
Voilà un combat écologique d'avenir.
La menace des OGM sur l'environnement me semble d'un second ordre face aux semences hybrides type F1 qui, stériles elles aussi, mettent depuis des décennies les agriculteurs sous la coupe des semenciers et réduisent à très peu la diversité des produits cultivés.
Comme en d'autres domaines, ne diabolisons pas ce que nous ne comprenons pas. Prenons le temps d'étudier pour savoir. Mais pour étudier, il faut nécessairement produire.
à Jasseron le 23 avril 2007
Objet : • OGM en plaine de l'Ain
• Le score ridicule de notre Faucheur vedette aux élections présidentielles ne semble pas faire changer d'avis les anti-OGM, pas plus que l'indifférence des habitants des zones de cultures.
Contre quoi se battent-ils? Le maïs n'a aucun équivalent sauvage en europe, donc les essais en pleine air n'ont aucun impacte possible sur la nature.
Il serait, à mon sens, préférable de porter le combat contre les cultures qui gaspillent nos ressources car hors de leur milieu naturel. Que fait le maïs sans les pairies sèches de la plaine de l'Ain, ou le coton autour de la mer d'Aral, ou les tomates dans les serres hollandaises?
Voilà un combat écologique d'avenir.
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