J'ai connu des écologistes plus pugnaces pour défendre leurs idées. Mais il semble que les temps ont changé et que la faim de pouvoir les tenailles. Ainsi donc pour quelques éventuelles (les électeurs trancheront) postes de députés, les voici renoncer à un de leurs plus vieux combats, la fin rapide de l'utilisation du nucléaire.
Du compromis à la compromission, ils ont sauté le pas pour une course aux prébendes. Leur groupe parlementaire au Sénat leur a tourné la tête.
Il n'est pas certain que ce renoncement les rendent politiquement crédibles.
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