Qui peut croire que la décision prise en 1995 de ne pas verser les pots de vins promis en 1992 ont conduit à un attentat en 2002?
Que l'on considère qu'un attentat, parmi tant d'autres dans ce pays instable, vise spécifiquement des français par vengeance ciblée reste des plus improbable.
Que les familles de victimes, faute de trouver les vrais coupables, tentent de mettre l'état en cause est évident.
Que certains parlent de blocage de comptes de campagne alors qu'en même temps d'autre affirment leur versement finalement crédité montre le coté fantaisiste des arguments.
Que certain ancien ministre, condamné pour malversations, règle ses compte comme un gamins est tout aussi évident.
Que le retour d'un autre ancien premier ministre réveille de vieilles querelles ne me surprendrait pas.
Qu'un juge auto-saisi s'agite me surprends toujours.
De l’invraisemblance au rocambolesque, il n'y a qu'un pas.
Mais que la presse se face l'écho de cette fable de relève pas sa crédibilité.
Quand cessera-t-on cet enfumage permanent pour se consacrer à l'analyse honnête et sincère des vrai problèmes du moment?
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