C’est l’accroche de couverture de l’hebdomadaire La Vie cd cette semaine.
Nous ne sommes pas à l’école! Le problème n’est pas de punir, mais de le mettre (lui, évidemment, mais aussi tous ceux qui lui obéissent aveuglément, voir qui en rajoutent) hors d’état de continuer à nuire à la population de son pays.
Je n’imagine pas qu’il puisse ignorer les agissements de ceux qui massacrent en son nom. À ce titre, il est inexcusable. Kadafi avait promis un fleuve de sang en cas d’intervention étrangère, Assad l’a fait ou l’a laissé faire.
Mais les pays qui ont plaqué les Droits de l’Homme au frontispice de leurs institutions sont aujourd’hui coupables de complicité par inaction. Il y a belle lurette qu’ils auraient dus, comme en Libye, fermer l’espace aérien de la Syrie, et clouer au sol les armes lourdes.
Certains en parlent, et il est évident que nous nous retrouvons avec la même impuissance politique mondiale qu’à l’époque de la SDN. Il est temps d’en finir avec le droit de véto à l’ONU qui interdit l’évolution vers une vraie gouvernance démocratique mondiale.
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